Un interview accordé par Gregorian Bivolaru à une chaîne TV du Danemark (2003)

Les mass-média occidentaux reconnaissent les mérites de l’école roumaine de yoga

 
La télévision nationale danoise a présenté le 15 octobre 2003 une émission sur N.A.T.H.A. (Centre de développement spirituel du Danemark) et le Camp International de Yoga organisé par ce centre dans la période 21-29 juin 2003 au Danemark. N.A.T.H.A. est la filiale danoise de l’école roumaine de yoga M.I.S.A. (Mouvement pour l’Intégration Spirituelle dans l’Absolu), fondée par le professeur de yoga Gregorian Bivolaru (pour apprendre plusieurs informations concernant l’activité de N.A.T.H.A. vous pouvez consulter le site www.natha.net). L’initiative de l’organisation par N.A.T.H.A. d’un Camp International de Yoga a été reçue avec chaleur par les autorités danoises, qui ont réalisé une émission objective sur cet événement. Le lieu de déroulement du Camp International de Yoga a été l’ashram de Bhoga, situé à 50 km au Nord-Ouest de Copenhague. Les invités d’honneur ont été le professeur de yoga Gregorian Bivolaru et le professeur de yoga  Nicolae Catrina.
 
Le programme du camp a inclus : une série de méditations quotidiennes, des conférences, des séminaires pratiques, des spirales spirale yang et des spirales d’induction de l’état de libération par miracle divin etc.
 
La télévision danoise a présenté à une heure de grande écoute une émission objective sur les activités du Camp International de Yoga et une interview réalisé avec le professeur de yoga Gregorian Bivolaru.
 
Selon le proverbe: “Personne n’est prophète en son pays”, voilà que pendant que l’Occident reconnaît les mérites de l’école roumaine de yoga, les mass-média de Roumanie se limitent à perpétuer, avec une persévérance digne d’une cause meilleure, les mêmes calomnies depuis des années, sans qu’au moins une des accusations puisse être prouvée. Le professionnalisme et l’objectivité prouvées par les reporters danois mettent en évidence sans appel le manque de ces qualités fondamentales dans les mass-média roumains.
 
Nous vous présentons ci-dessous des extraits de l’interview accordée par Mr. Le professeur de yoga Gregorian Bivolaru au reporter de la télévision nationale danoise.
 

Reporter: Quelle est l’idée qui s’est trouvée à la base d’un camp international au Danemark?
 

Prof. yoga Gregorian Bivolaru: C’était l’idée de familiariser les gens avec certaines pratiques spirituelles bénéfiques, de les aider à comprendre certaines idées profondément positives liées à leur être intérieur, à la nature, à Dieu. Ce camp est réalisé selon le modèle du camp international de yoga de Roumanie. En Roumanie un tel camp s’est déroulé pour la première fois dans le monde, et y participent annuellement plus de 7000à 8000 personnes du monde entier!
 
D’après ce que je sais, ce genre de manifestation est à l’heure actuelle unique. Nous nous attendons à être copiés par les pratiquants de yoga des autres parties du monde entier, parce que ces camps de yoga aident beaucoup les gens à mieuxse sentir; nous avons des milliers de témoignages sur les états bénéfiques ressentis même 2 à 3 mois après la fin du camp, comme un écho profondément ressenti dans l’être de celui qui les a vécu, à différents niveaux : physiquement, psychiquement, mentalement et spirituellement.
 
J’ajouterai que dans une société où souvent la jeunesse s’oriente vers les drogues, la violence, les vices ou les excès d’alcool etc., ces camps où ces vices sont entièrement éliminés, créent une orientation tout à fait différente qui peut représenter un modèle profondément bénéfique.
 
Même le fait que de nombreux gens de Roumanie et de l’étranger y participent, montre qu’ils se sentent extraordinairement bien et qu’ils ont hâte de participer à des événements de cette nature. Ce fait est surtout du à l’engrénage de différentes pratiques spirituelles qui ont pour rôle de créer une ambiance exemplaire tout à fait extraordinaire de bien-être, de bonheur, d’harmonie, d’équilibre, d’amour qui a beaucoup d’importance pour eux.
 

R: Pourquoi est-il nécessaire de réaliser le test HIV, le test de la syphilis et trois photos pour participer à ces camps?
 

G.B: Premièrement pour que les gens soient protégés de maladies très graves au cas où ils s’impliquent dans des relations intimes. Cette pratique est courante dans les camps internationaux de toute sorte. Et en ce qui concerne les photos, nous cherchons à constater, en fonction de certaines énergies subtiles que chaque être présente, si certaines personnes n’ont pas de troubles psychiques qui pourraient perturber l’ambiance du camp. Ces personnes doivent être éliminées, et sur la base des photos il est très facile de trouver ceux qui ont des troubles psychiques et qui aimerait y participer, mais qui doivent être éliminés.
 
Dans ce sens je peux ajouter que ceux qui ont des troubles psychiques graves (comme la paranoïa et la schizophrénie) ne sont admis ni dans les camps spirituels, ni aux cours de yoga.
 

R: Ne pensez-vous qu’à cause des tests HIV, les gens peuvent avoir l’impression que le camp est orienté vers la sexualité ?
 

G.B: Non, parce que cet aspect est optionnel. Personne n’est obligé de faire l’amour, cela est en liaison avec l’option de chacun et au-delà de tout, ce camp n’est pas vraiment un camp tantrique. Si vous parcourez le programme, vous constaterez que les aspects dont on parle dans les conférences et dans les séminaires ne visent pas uniquement la sexualité ou l’amour physique.
 
Une preuve vivante dans ce sens est le fait que j’ai présenté une série de conférences où je n’ai guère parlé de l’amour ou de la sexualité, mais seulement des états bénéfiques de transe, de la méthodologie de les provoquer et de tout ce qui est lié à la transe bénéfique, lorsqu’elle est comprise et induite consciemment dans l’être, en étapes. Et l’exemplification finale a été réalisée avec l’état bénéfique de transe du bonheur, aspect qui est significatif.
 

R: Pouvez-vous nous dire à quel point êtes-vous arrivé sur cette voie spirituelle? Avez-vous atteint le but final?
 

G.B: Dans ce sens je suis un être très modeste. Je peux dire que j’ai découvert que Dieu existe, qu’Il est présent en chacun de nous et Il attend que chacun Le découvre. Et j’ajouterai que j’ai cherché à mettre à disposition de ceux qui pratiquent le yoga des modalités très simples à travers desquelles ils puissent se convaincre très facilement de l’existence de Dieu, parfois même après un seul mois de pratique du yoga. La pratique du yoga m’a conduit à l’inspiration d’apprendre aux gens comment se bénir réciproquement ou même de s’auto-bénir.
Ainsi l’homme découvre très facilement qu’une force colossale, infinie, mystérieuse, vient, se manifester en et à travers lui et l’aide à chaque fois l’homme demande cela.
 
Au surplus, dans l’existence de cet être ou autour de lui commenceront à se manifester des phénomènes de synchronicité. C’est un fait qui impressionne beaucoup ceux qui appliquent l’Art de la Bénédiction, qui est une découverte de notre école de yoga (n.r. – pour plus d’informations nous vous recommandons le groupe d’articles à l’adresse suivante /moved_content.php?lang=FR&item=1735).
 
L’art de la Bénédiction peut être facilement réalisé même après la première semaine de cours de yoga. e la sorte, l’homme découvre facilement que Dieu existe et qu’Il se manifeste en et à travers lui. Ensuite le voyage spirituel continue et Dieu se révèle de façon de plus en plus ample et profonde à celui qui avance sur la voie spirituelle. Je peux ajouter aussi que certaines personnes qui ont renoncé à la pratique du yoga ont continué à réaliser l’Art de la Bénédiction, parce que cela les aide à s’approcher de Dieu d’une manière simple et facile.
 

R: Vu que vous avez parlé de l’Art de la Bénédiction, il paraît que vous avez découvert des techniques qui sont liées aux différentes religions: christianisme, bouddhisme, hindouisme; comment est-il possible de combiner toutes ces aspects?
 

G.B: Cela est possible parce que Dieu est Un et Unique. Même s’Il est nommé de façon différente dans les diverses religions, pourtant Il est un Unique Dieu dont ces religions parlent. Et cette méthode (l’Art de la Bénédiction) peut être appliquée dans le cadre de toute religion de la terre: par les mahométans, les chrétiens ou les bouddhistes. En même temps, l’avantage de cette technique est qu’elle met l’homme en liaison directe avec Dieu, de sorte qu’il n’ait besoin d’aucun intermédiaire.
 

R: Certains pratiquants du cadre de l’école de yoga se baptisent dans la religion orthodoxe et reçoivent de nouveaux noms, et vous êtes leur parrain. Comment est-ce possible?
 

G.B: C’était leur option de me choisir en tant que parrain, et en manifestant de l’amour et de la considération pour eux j’ai accepté.
 

R: Quels sont les critères selon lesquels vous trouvez les nouveaux noms?
 

G.B: Je cherche à réaliser une corrélation entre le nom que je vais offrir et certains aspects qui existent dans les profondeurs de l’être profond à qui je vais offrir le nom, à découvrir intuitivement les noms qui sont les plus adéquats, correspondant à certains aspects mystérieux qui existent dans leur être. En plus, j’envisage que ce nom soit intégré dans la sphère sociale.
 

R: De quelle manière considérez-vous que vous pouvez aider les membres de cette école de yoga?
 

G.B: Avant tout par mon exemple personnel, par l’exemple de mon existence, par tout ce que je vis, je sens et je peux induire, sous la forme d’un champ énergétique subtil qui stimule les autres et le fait prendre conscience de cette aide. Mon attitude fondamentale est d’être un relais sui generis par qui se manifestent les idées divines, la force, l’amour, la sagesse, la bonté, l’harmonie, l’inspiration divine. Cet aspect est souvent ressenti par les gens. Parce qu’à mesure que l’être suit une voie spirituelle, il éveille certaines disponibilités latentes qui existent en chaque homme et, ainsi il devient capable de recevoir certaines énergies subtiles, des états qui sont exemplifiés. Dans ce sens, les sages de l’Orient ont un dicton qui dit ainsi: “Ce que je suis vous allez devenir, ce que vous êtes, je l’ai aussi été”.
 

R: Est-ce que vous vous considérez comme un Guru?
 

G.B: Non, je ne me considère pas comme un Guru, je me considère seulement un pratiquant avancé du système de Hatha Yoga, qui, dans la mesure où il a réussi à atteindre certaines conclusions, il devient apte à offrir son expérience à ceux qui sont ouverts à recevoir et qui sollicitent son aide.
 

R: Sentez-vous une connexion entre vous et Dieu (ou l’Énergie Suprême)?
 

G.B: Oui, je sens souvent cela; je sens une inspiration et une force de nature spirituelle ineffable qui se manifeste en et à travers moi, qui m’inspire, m’aide et m’offre la possibilité d’avoir de quoi offrir aux autres.
 

R: Ceci est une communion avec Dieu?
 

G.B: Oui, et cette communion est prépondérante dans mon cas. En fait c’est ce que j’ai voulu faire comprendre à ceux qui s’orientent sur cette voie de la spiritualité qu’est le yoga. L’expérience que j’ai eu en ressentant pleinement Dieu m’a permis de transmettre aux autres aussi que s’ils n’offrent pas à Dieu la première place dans leur existence cela veut dire qu’en fait ils ne lui offrent aucune place.
 

R: Cette communion avec Dieu est-elle intérieure, trouvez-vous Dieu à l’intérieur de vous ou quelque part dans l’Univers, à l’extérieur de vous?
 

G.B: Chaque homme découvre Dieu en lui-même. Les sages disent que Dieu s’est le mieux caché à l’intérieur de l’être humain. Cette vérité formidable a été ainsi exprimée de façon inspirée par Jésus: “Je suis dans le Père et le Père est en Moi”. Simultanément avec cette découverte de Dieu en nous-mêmes, nous découvrons qu’en même temps Dieu est infini à l’extérieur de nous et qu’il est tout puissant, ou, selon les mots d’un sage occidental, Dieu se révèle comme s’Il était une sphère sans limites qui a le centre partout et la circonférence nulle part.
 

R: Il paraît que de nombreux membres du mouvement vous sont très dévoués et vous considèrent un maître spirituel, un Guru. Comment vous sentez-vous par rapport à cet aspect?
 

G.B: Je sens cette dévotion comme quelque chose de merveilleux et qui m’oblige et détermine en moi une immense responsabilité d’être à la hauteur de leurs attentes et de leurs aspirations et génère en moi un état de grand amour et le désir de leur être très utile dans cette recherche intérieure, spirituelle, qui doit être fructueuse.
 

R: Comment abordez-vous une conversation particulière avec une personne qui vous sollicite votre aide?
 

G.B: Je discute avec la personne des problèmes auxquels il est confronté, je lui offre des conseils extraits de mon expérience et je cherche à le déterminer à dépasser les difficultés auxquelles il est confronté et de s’engrener plein d’enthousiasme sur cette voie (vers Dieu) pour avoir des résultats selon la mesure des efforts consentis. Même si cela implique un grand sacrifice, parce qu’en Roumanie je passe fréquemment plus de 40h dans des discussions continues avec les gens. J’ai des journées d’audience où souvent, au cours de 2 à 3 jours continûment je parle avec un minimum de 400 personnes! Mais je dois ajouter qu’alors je limite leurs questions à une seule question fondamentale, sinon, le temps alloué serait 7 fois plus grand.
 

R: Un peu plus tôt, quelqu’un ici présent vous a demandé quelle est la cause subtile de sa maladie, et la réponse que vous avez offerte était que c’est une conséquence karmique de certaines actions réalisées dans une vie antétieure. Comment apprenez-vous ce genre de choses?
 

G.B: Il s’agit d’un genre de perception de nature spirituelle qui me permet de pénétrer dans l’aura de l’être en question et de constater ce qui s’est produit avec lui dans une autre vie. Avant de commencer la pratique du yoga, j’ai été confronté à de telles expérience qui m’ont révélé le fait que dans une autre vie j’ai vécu au Tibet en ayant des préoccupations de nature spirituelle.
 

R: Comment pouvez-vous promettre la guérison complète à quelqu’un qui souffre d’une maladie très grave?
 

G.B: Très souvent en Roumanie, j’ai eu l’occasion de rencontrer des gens qui souffraient de maladies très graves, mais dans la mesure où ils se sont engrenés et ont appliqué ce que je leur ai conseillé, ils ont été guéris. Nous avons en Roumanie un ensemble de centaines de personnes qui ont appliqué ce que je leur ai offert en tant que conseil et qui ont été guéries, ressentant ensuite une immense reconnaissance pour ce fait. Je peux aussi ajouter que tout ce que je réalise dans ce sens, je le fait tout à fait gratuitement. Je n’ai jamais perçu aucune taxe et je ne le ferais jamais quelle que soit la personne qui sollicitera une consultation de ma part!
 

R: Pour quelle raison considérez-vous que les gens devraient pratiquer le tantra?
 

G.B: Premièrement pour comprendre que l’amour est quelque chose de fondamental qui peut les ouvrir envers eux-mêmes, les aider à atteindre un état profond et harmonieux de bonheur et les aider à réaliser le plus facilement, qu’avant tout, Dieu est amour.
 
Un être humain qui aborde le tantra découvre la façon de transmuter le potentiel sexuel, de le contrôler et ainsi qu’il a à sa disposition une énergie gigantesque, immense, à l’aide de laquelle il pourra dynamiser les possibilités latentes de son être. Le Tantra conduit celui ou celle qui le pratique à un éveil de tout ce qui est merveilleux et beau en lui et, surtout à cette époque où existe la tendance de confondre la sexualité avec l’amour, cela peut créer une véritable prémisse de ré harmonisation de l’être, pour une réintégration harmonieuse dans l’univers entier et pour générer des relations profondes, qui emmènent du bonheur, avec les autres.
 
Ici nous devons comprendre que l’homme qui arriveà pratiquer le tantra réussira graduellement à contrôler sa sexualité et ainsi il sera capable d’ atteindre un état de virilité extraordinaire, en étant capable de ressentir des états profonds d’orgasme, multiples, sans jamais perdre le potentiel sexuel, autrement dit sans éjaculer.
 
Cela conduit à ce que l’homme puisse rendre heureuse la femme qu’il aime, parce que la femme ne sera plus insatisfaite, justement parce que l’homme n’éjaculera plus avant qu’elle atteint l’état d’orgasme. D’autant plus, cela génère une disponibilité extraordinaire de l’homme de rendre sa bien-aimée heureuse et crée les prémisses d’une entente extraordinaire en ce qui concerne les relations de couple, spécialement en ce qui concerne l’aspect amoureux, érotique.
Il existe aussi de nombreux autres effets profondément bénéfiques qui se ressentent surtout à partir du niveau de la structure physique. Ainsi, en disposant d’une vitalité augmentée, il devient possible que l’être guérisse certaines affections en pratiquant la continence sexuelle. Au niveau psychique, le pouvoir d’aimer s’amplifie, les stress et les tensions auxquels l’être est confronté seront éliminés, l’état de bien, de calme et de bonheur que la personne vit deviennent contagieux. Au niveau mental, cette pratique crée les prémisses de certains états euphoriques, extatiques et permet à l’être d’éveiller son âme, ce qui facilitera, au niveau intuitif, sa découverte de façon ineffable de Dieu. De même, graduellement, a lieu l’éveil de certaines capacités paranormales, dont on pourrait longtemps parler, mais je me contente de mentionner que ces phénomènes apparaissent et ensuite s’amplifient.
 
L’amour est une prémisse que l’être va arriver à un état d’épanouissement intérieur, à connaître Dieu et à réaliser que Dieu est Amour.
 

R: Quel est le but final du voyage sur la voie spirituelle?
 

G.B: Le but du voyage sur la voie spirituelle est que l’être arrive à répondre aux questions fondamentales de l’existence : qui suis-je?, d’où viens-je?, et quel est le but de cette existence? Le Yoga peut vraiment offrir une réponse vivante à ces questions fondamentales.Le but suprême de la pratique du yoga est que l’être arrive à découvrir la Vérité, ce qui équivaut à la découverte du Soi Suprême, l’étincelle de Dieu le Père qui est présent en chaque personne. C’est ce que Jésus exprimait d’une manière fondamentale: “Connaissez la Vérité et la Vérité vous rendra libres”. Cette connaissance de la Vérité, à travers la pratique du yoga, est possible et réalisable dans un intervalle court de temps. L’être qui atteint cet état ressent la béatitude de la communication avec Dieu, atteint l’état de sagesse et découvre qu’avant tout, Dieu est un mystère comblant plein d’amour.
 

R: Vous recommandez aussi que les yogis ne consomment pas de viande, ne boivent pas d’alcool, de café, ne fument pas. Pourquoi?
 

G.B: Parce que ce sont des produit reconnus comme étant très toxiques pour l’organisme et en aucun cas ils n’aident l’homme à se trouver dans un état de santé excellent. Ils peuvent être remplacés avec succès par d’autres aliments qui assurent à l’être humain un état de santé et de bien-être tant au niveau physique, qu’au niveau psychique et mental.
Au-delà de ces aspects, il est fondamental de retenir que nous donnons ces conseils, mais que les gens restent libres de faire leur choix.
 
Ils ont à disposition des informations sur ce qu’est la nourriture sans viande, les états générés par une telle diète, à comparer ce que la viande, l’alcool et le tabac contiennent et sur la base des études offertes dans les cours écrits de yoga, les gens peuvent faire librement leur choix.
 

R: Cela veut dire que les autres gens du monde vivent une vie incorrecte?
 

G.B: Non, ils ne vivent pas une vie incorrecte, mais l’ignorance fait en sorte que les gens manquent souvent certaines possibilités que la connaissance leur ouvre. Tel que les sages l’affirment, la connaissance offre l’accès à une nouvelle vision et de la sorte celui qui connaît plus est capable de plus.
 
Dans ce sens je suis convaincu que si les autres gens auraient accès à la gamme d’informations à laquelle les yogis ont accès au cours des milliers d’années, il serait très probable de constater que le monde entier embrasserait de mode de vie sain. Dernièrement, la médecine holistique propose cela avec succès.
 

R: Croyez-vous qu’un mouvement comme celui-ci doit nécessairement avoir un maître spirituel ou Guru?
 

G.B: Je considère et j‘apprends toujours aux gens que le maître suprême de tous les maîtres est et reste Dieu et je cherche à conduire ces gens, avant tout, vers Dieu, pour qu’ils aient ainsi accès et puissent recevoir toute l’inspiration et toute l’aide du suprême maître de tous les maîtres qu’est Dieu le Père.
 

R: Croyez-vous que M.I.S.A. (Mouvement d’Intégration Spirituelle dans l’Absolu) ou N.A.T.H.A. (Centre nordique pour le développement spirituel) sont des sectes? Je pose cette question parce qu’il y a des gens qui affirment qu’ils existe des éléments sectaires dans ces mouvements.
 

G.B: Les gens qui ne savent pas exactement ce qu’est une secte peuvent facilement affirmer cela. C’est un aspect caractéristique pour tout mouvement spirituel qui n’est pas encore arrivé à être reconnu au niveau mondial, international, universel. Au-delà de ces aspects, j’ai écrit un article où j’ai montré en parallèle ce qu’est une secte et quelles sont les caractéristiques de notre école de yoga, d’une manière très honnête et ouverte pour que les gens puissent réaliser une comparaison et se rendre compte si notre école est ou non une secte. Cet article n’est pas encore traduit en langue danoise, mais cette traduction peut être réalisée n’importe quand, parce qu’il doit être mis à la disposition de toute personne qui rejoint cette école.
 
Tout notre mouvement de yoga est transparent, ouvert, toujours prêt à entamer un dialogue avec toute partie de la société civile et je peux ajouter ici un élément qui a une certaine signification. À un moment donné, en Roumanie, nous avons réalisé une expérience collective. C’était une expérience réalisée par tous les pratiquants de yoga de notre pays (environ 35.000), qui ont effectué une méditation quotidienne pour assurer un état de paix et de calme au niveau social. Nous avons annoncé à l’avance aux organes de police la date et l’heure de début de l’expérience qui a duré un mois. À la fin de l’expérience qui s’est réalisé en prépondérance dans les grandes villes de Roumanie, il a été constaté une diminution surprenante, avec plus de 60%, des infractions, des viols, des accidents routiers, fait qui a impressionné beaucoup les autorités.
 
Mais la réponse des autorités, à l’époque, a été spécifique, ayant en vue les préjugés qu’elles avaient à notre égard : oui, c’est surprenant tout ce que nous avons constaté, mais du fait qu’on dit de vous que vous êtes une secte, nous nous trouvons dans l’impossibilité d’annoncer cette collaboration à l’expérience; nous nous contenterons de constater les résultats positifs, mais nous ne pouvons pas adopter une position officielle.
 

R: Comment se déroule l’activité financière dans le cas de M.I.S.A. et dans le cas de N.A.T.H.A.?
 

G.B: Ces écoles sont deux structures complètement différentes. Personnellement, pour ce stage, ils m’ont seulement payé le billet d’avion, aller-retour.
 
Je peux répondre seulement pour M.I.S.A., parce que dans le cadre de N.A.T.H.A. cet aspect vise ceux qui coordonnent cette activité ici et s’occupent que cette école existe et soit un foyer de spiritualité pour ce pays selon le modèle de l’école roumaine.
 
Dans le cas de M.I.S.A., les gens apportent une contribution mensuelle mineure, 8% du salaire minimum par économie, ce qui représente le tarif pour fréquenter les cours; avec cette somme on paye tout ce qui est lié à l’entretien d l’école, on édite des livres, on achète des bâtiment qui sont équipés avec tout le nécessaire; ainsi, M.I.S.A. existe en tant que structure stable parce qu’il n’est pas et n’a jamais été aidé par le gouvernement roumain.
Le fait que de très nombreuses personnes de Roumanie participent à nos cours de yoga nous permet d’établir un tarif minime qui assure la subsistance dans des conditions modestes de cette école roumaine de yoga.
 
Un article tiré de la revue Yoga Magazin n° 47
 
yogaesoteric

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