Le SIDA : première maladie virtuelle de l’histoire (1)

Les documents scientifiques associant le VIH au SIDA en 1984 sont des faux

Trente-sept professionnels appartenant au médico-légal et à la recherche ont envoyé à la revue Science une lettre lui enjoignant de retirer officiellement les quatre documents faisant du VIH la cause du SIDA. Selon les auteurs de la lettre, d’importantes preuves ont désormais émergé, montrant que, non seulement les études ont été mal effectuées, mais en plus leurs conclusions ont été falsifiées.

En 1984, Robert Gallo publiait quatre articles dans la revue Science, affirmant qu’il avait isolé le virus du VIH et concluant que c’était la « cause probable du SIDA. » Quoi qu’il en soit, Janine Roberts, une journaliste d’investigation, a découvert que Gallo avait retouché en dernière minute le document et ses conclusions.

Janine Roberts, auteur de Fear of the Invisible (La peur de l’invisible), a déclaré : « J’ai été choquée quand j’ai lu le brouillon original du document scientifique clef qui est maintenant largement citée comme prouvant que le VIH est la cause du SIDA. »

Les changements de dernière minute de Gallo dans les manuscrits ont inversé ce que les scientifiques avaient initialement conclu dans leur laboratoire. Cela démontre un mépris accablant envers la démarche scientifique et un manquement très inquiétant envers la confiance du public.

Accompagnée d’une copie manuscrite des altérations, la lettre des 37 experts est complétée d’une lettre de Gallo lui-même, qui admet auprès d’un autre chercheur que le VIH ne peut être isolé des échantillons humains seuls, et de la lettre d’un expert en microscopie électronique, disant qu’il n’y avait aucun virus VIH dans les échantillons de Gallo en 1984.

La recherche de Gallo s’était vue attaquée auparavant, dans les années 90, par des investigations du gouvernement étasunien qui concluaient que le principal document de travail était « rempli d’affirmations mensongères et erronées, » et que « la négligence et le maintien inacceptable des dossiers de recherche … reflètent une gestion irresponsable des laboratoires, qui nuit en permanence à la traçabilité des importantes mesures prises. »

David Crowe, le président de l’organisation internationale Rethinking AIDS, a déclaré : « Grâce à de nouvelles découvertes qui minent l’intégrité scientifique et la véracité des quatre documents de Gallo, les fondements entiers de la théorie selon laquelle le VIH provoque le SIDA peuvent désormais être remis en question. »

A rapprocher de tous les avis jamais relayés depuis maintenant des décennies, des plus éminents spécialistes sur la question des rétrovirus, avis stigmatisés, étouffés, raillés. Les auteurs de cette supercherie sont responsables devant l’humanité entière. Son coût humain et psychologique aura été et reste pour le moment très élevé. Il faudra bien que « la masse » se mette un jour à cesser d’accepter de se comporter comme un seul et même mouton et de se laisser formater et conditionner à volonté. Bien sûr cette information ne sera probablement jamais relayée par les médias institutionnels. A nous de jouer, en commençant par se déconditionner par soi-même. Ci-dessous quelques documents tirés de mes archives.

L’effet nocebo – le SIDA : première maladie virtuelle de l’histoire

Le principal argument – mais, comme nous venons de le voir, ce n’est pas le seul – est qu’il n’existe pas un seul document qui démontre qu’on a isolé le prétendu virus du SIDA. Voici quelques déclarations – la liste qui suit est très loin d’être exhaustive – qui viennent à l’appui de cet argument :

Professeur Walter Gilbert, professeur de biologie moléculaire, Prix Nobel de Chimie 1980 : « Je ne serais pas surpris s’il y avait une autre cause du SIDA et même qu’aucun V.I.H. ne soit impliqué. »

Docteur Kary Mullis, biochimiste, Prix Nobel de Chimie 1993 : « S’il existe des preuves que le V.I.H. est la cause du SIDA, il doit exister des documents scientifiques qui démontrent individuellement ou collectivement ce fait, au moins avec une forte probabilité. Un tel document n’existe pas. »

Docteur David Rasnick : « Comme scientifique j’ai étudié le SIDA depuis seize ans et me suis rendu compte que cette maladie n’avait pas grand-chose à faire avec la science. Le SIDA est un phénomène sociologique construit par la peur. Celle-ci a créé une sorte de maccarthysme qui a fait s’effondrer toutes les règles de la science pour imposer un mélange de croyances pseudo-scientifiques à un public fragile. »

Docteur Joseph Sonnabend, médecin new-yorkais, fondateur de la Aids Foundation : « A travers les communiqués de presse et les déclarations, le marché du V.I.H., en tant que virus tueur causant le SIDA sans autres facteurs, a engendré une telle distorsion de la recherche qu’il est bien possible qu’il ait entraîné la souffrance et la mort de milliers de gens. » Sunday Times de Londres, 17 mai 1992.

Docteur Harvey Bialy, biologiste, directeur de la revue Bio-Technology : « Le V.I.H. est un rétrovirus ordinaire. Il n’a rien d’unique. Tout ce qu’on découvre à son propos a été découvert à propos des autres rétrovirus qui ne causent pas le SIDA. Le V.I.H. est une toute petite pièce d’information génétique. Il est impossible qu’il soit responsable de tout ce qu’on lui impute. » Spin, juin 1992.

Docteur Harry Rubin, professeur de biologie moléculaire, Université de Berkeley, Californie : « Rien ne prouve que le SIDA soit causé par une infection du virus V.I.H. et il n’est pas davantage prouvé que ce virus ne aucun joue rôle dans le syndrome. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Richard Strohman, professeur émérite de biologie moléculaire à l’Université de Berkeley : « Autrefois, on demandait aux scientifiques d’indiquer dans leur publication aussi bien les arguments qui pouvaient invalider leur thèse que ceux qui la validaient. Il n’y a plus rien de la sorte dans les publications touchant aux programmes du V.I.H.-SIDA qui mettent en jeu des milliards de dollars. » Penthouse, avril 1994.

Docteur Roger Cunningham, immunologiste et microbiologiste, directeur du Centre d’immunologie de l’État de New York, Buffalo : « Malheureusement, l’établissement du SIDA semble bien, d’une part, décourager tout ce qui défie le dogme et, d’autre part, encourager toutes les idées discréditées. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Steven Jonas, professeur de médecine préventive, Suny Stony Brook, New York : « L’évidence ne cesse de s’affirmer que la théorie du V.I.H. est fausse. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Alfred Hassig, professeur émérite d’immunologie à l’Université de Berne, Suisse : « La sentence de mort qui accompagne le diagnostic du SIDA devrait être abolie. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Charles Thomas, ancien professeur de biochimie à Harvard and John Hopkins Universities : « Le dogme du V.I.H. en tant que cause du SIDA constitue l’imposture la plus grande et la plus moralement destructrice qu’on ait perpétrée contre les jeunes gens du monde occidental. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Bernard Forscher, ancien directeur du U.S. Proceeding de l’Académie des sciences des Etats-Unis : « L’hypothèse du V.I.H. peut être classée avec la théorie du “mauvais air” responsable de la malaria, la théorie de l’infection bactérienne du béribéri. C’est une mystification qui est devenue une arnaque. » Sunday Times de Londres, 3 avril 1994.

Docteur Charles Thomas, PhD, ancien directeur du département cellulaire du Scripps Research Institute : « Le SIDA est une grande illusion qui est maintenue parce qu’il y a beaucoup de gens qui gagnent beaucoup d’argent grâce à elle. Enlevez la question financière et toute la mythologie s’effondrera. »

Sénateur des États-Unis Gil Gutknecht : « Le SIDA n’est pas une nouvelle maladie. C’est le triomphe de la politique sur la science. »

Lisez la deuxième partie de cet article







yogaesoteric

17 mars 2018

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