Exclusivité WikiStrike : Toulouse : L’assassinat politique programmé par Israël pour faire main basse sur l’UNIFEM et le CDH de l’ONU

L’Etat d’Israël a l’Iran dans sa cible. Résolution ou pas de l’ONU, il attaquera d’après Netanyahu. Les Nations Unies pressés par le Qatar le 24 février 2012 et d’autres nations arabes a décidé de porter une résolution votée le 22 mars 2012, jour du siège de Toulouse et de l’assassinat (qu’on le veuille ou non) de M. Merah, une résolution dont le but est de vérifier les droits de l’homme dans Jérusalem – et ainsi que dans les territoires palestiniens. Israël etait au courant depuis plusieurs mois déjà de ce qui se trame à New York pour la simple raison que la femme de Samuel Sandler dont les enfants et petits-enfants sont morts, travaillait justement comme directrice exécutive aux Nations Unies : Joanne Sandler, dont le visage n’apparaît pas et n’était pas à montrer ! La pauvre Joanne était un contact malgré elle très utile aux Nations-Unies…

Johanne Sandler de l’ONU et son fils Jonathan Sandler

Joanne Sandler était Directrice exécutive du Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (UNIFEM). Elle guidait les efforts visant à mettre en œuvre les programmes fondés sur les droits et les résultats en matière d’autonomisation et de droits des femmes dans le monde. Elle a également fait partie de conseils d’administration et d’organisations internationales et nationales, y compris l’Association pour le droit des femmes au développement, au travail et le droit de faire des films. Le but de cette résolution est de retarder l’échéance d’une guerre contre l’Iran qui enflammerait tout le Proche-Orient, d’où la colère d’Israël qui a décidé de rompre toute relation avec le Comité aux droits de l’Homme (CDH) de l’ONU.

Pour démontrer sa toute-puissance, Israël a mis en place un projet qui leur permettra de tenir ce grade : Tuer les derniers garçons Sandler. Eh oui, avec l’assassinat de Jonathan et ses enfants, Gabriel et Arié, le nom de famille Sandler s’arrête là. On comprend maintenant pourquoi Mohamed Merah, chargé de la mission, a poursuivi ses victimes pour s’assurer qu’ils ne s’en sortent pas, et voilà pourquoi la fille a survécu ! C’était le nom de famille qu’il fallait abattre. Mais pourquoi ? Simplement pour montrer sa force à l’ONU ou bien, pour se prouver, ou parce qu’un autre élément entre en compte ? Exécuter la famille Sandler pour faire pression sur l’UNIFEM et les CDH de l’ONU, afin de couper cours aux relais d’information sur la situation réelle de cet Etat et du non-respect des droits de l’homme. C’est une probabilité car Wikistrike démontre le lien entre la famille Sandler et la mère du défunt Jonathan Sandler, Joanne Sandler ex-Directrice exécutive du Fonds de développement des Nations Unies pour la femme (UNIFEM).

La création de l’Etat d’Israël remonte à 1948, la création de l’ONU à 3 années plus tôt, en 1945, au sortir de la seconde guerre mondiale. Si l’on s’intéresse maintenant à l’ancêtre de l’ONU, la Société des Nations, on peut s’apercevoir que le dernier Président de l’Assemblée est un… Sandler ! Monsieur Rickardes Johannes Sandler. Il prit ses fonctions en 1934, à l’éveil du nazisme.

Rickard Johannes Sandler de la Société des Nations en 1934

Rickard Johannes Sandler, né le 29 janvier 1884 à Torsåker, Ångermanland, Suède, mort le 12 septembre 1964 à Solna, est un homme politique socialiste réformiste suédois. Il est successivement Ministre d’État (chef du gouvernement) de 1925 à 1926 et ministre des Affaires étrangères de 1932 à 1936 puis de 1936 à 1939. Il est également président de l’Assemblée générale de la Société des Nations en 1934. Durant l’existence de la Société des Nations née suite à la tragédie de la 1ère guerre mondiale, ni Israël (qui n’existait pas), ni les USA n’en faisaient partis. Il leur a fallu pour cela attendre la création de l’ONU.

En assassinant le nom de famille Sandler, Israël et les USA toujours main dans main pour faire les pires choses, tuent définitivement le passé dont ils se sentaient exclus et revendiquent comme tous les droits à l’ONU où ils se sentent désormais les Pères fondateurs ! Ils montrent ainsi aux nations qui y sont représentées que rien ni personne ne pourra les arrêter dans leur entreprise de mondialisation. Il faut dire que Sandler était un social-réformiste ou si vous préférez un marxiste, un communiste, tout ce qu’ils haïssent. La mort de la famille Sandler n’est donc pas anodine. Elle représente beaucoup dans le symbole. L’acte est POLITIQUE. Ne pas oublier que la famille Sandler est ultra-orthodoxe (80% des ultra-orthodoxes sont tous opposés à l’apartheid et aux crimes commis par Tsahal, et beaucoup d’entre eux sont même contre l’Etat d’Israel puisque le sionisme est purement politique, alors qu’eux en tant, qu’ultra-orthodoxes, estiment qu’il faut attendre le messie pour retrouver les terres d’Israel, beaucoup sont donc haït par le gouvernement israëlien).

Pour montrer comme les deux s’aiment bien, les chaînes de télévision n’ont rien diffusé que des extraits des obsèques des 3 pauvres enfants et de Jonathan. Concernant les 3 militaires de Montauban, l’explication est simple. Ils ont été choisis pour faire diversion. Cela a marché !

Pourquoi le choix de Mohamed Merah ?

La décision a été prise très rapidement, certainement en février 2012. Et elle est décisive pour la suite des affaires israéliennes et Etats-uniennes, prendre un islamiste parti faire un tour dans des pays remplis de terroristes, le coincer en Israël, le renvoyer en France. Il leur fallait un jeune algérien pour une seule raison, l’Algérie est le seul pays nord-africain à ne pas avoir subi de changements de régime. Du Maroc à l’Egypte, les pouvoirs en place sont tombés est passés (placés) entre les mains des islamistes, tous sauf un… l’Algérie. Les Etats-Unis ont demandé même la création d’un CNT algérien, information passée à la trappe, mais qui tombe plutôt bien tandis que le jeune salafiste s’y fera enterré. Un joli symbole non ?! La famille Merah, et Mohamed (qu’on ne pardonnera jamais) a bien été manipulée pour remplir les besoins d’une nation désireuse de pouvoir: Israël.

D’une pierre ils font plusieurs coups, ils font éliminer un « opposant » tout en légitimant dans les consciences une haine pour appuyer la prochaine attaque en Iran, le renversement prochain du gouvernement algérien et le renforcement en Europe de lois liberticides, sur le net et dans la rue. Les deux compères US-Israël qui se prêtent les bombes atomiques ont donc décidé de créer un climat de peur en Europe pour légitimer une attaque sur l’Iran. Hélas, ils y parviendront. Car aucun journaliste aujourd’hui n’a le courage de dire la vérité, et surtout aucun journaliste n’est plus libre de ce qu’il dit ou écrit.

Quelques annexes :
Le 24 février 2012 : le Qatar appelle l’ONU à enquêter sur la judaïsation de Jérusalem

Le Qatar a appelé à la création d’une commission d’enquête de l’ONU sur la judaïsation de Jérusalem et averti que les pays du Printemps arabe n’accepteraient plus l’occupation de la Ville sainte par Israël.

Le 10 mars 2012 : violences sur Gaza, le lendemain, Merah tuera un militaire français, le plan d’Israël se met en place.

Le 21 mars 2012, Netanyahu fustige l’ONU – Israël a fustigé « l’hypocrisie » du Conseil des droits de l’homme de l’ONU, qui a annoncé jeudi 22 mars 2012 la première enquête internationale sur les conséquences des colonies israéliennes. « Ce Conseil, avec une majorité automatique hostile à Israël, est hypocrite et devrait avoir honte de lui-même », a déploré le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans un communiqué. « Il a pris 91 décisions, dont 39 relatives à Israël, 3 à la Syrie et une à l’Iran. Il suffit d’entendre le représentant syrien s’exprimer aujourd’hui sur les droits de l’Homme pour comprendre à quel point ce Conseil est loin des réalités », a souligné M. Netanyahu.

« Il s’agit encore une fois d’une décision surréaliste bricolée par un Conseil qui plutôt que de se vouer aux droits de l’Homme est l’instrument d’initiatives politisées en sens unique », a affirmé le ministère israélien des Affaires étrangères. « Se tourner vers des organismes internationaux est une violation des accords israélo-palestiniens. Si les Palestiniens avaient voulu régler le problème des colonies, ils auraient repris sans retard des négociations directes et sans conditions », a ajouté le ministère.

Une victoire pour la Palestine

Côté palestinien, cette « nouvelle décision internationale est une nouvelle victoire pour la cause palestinienne qui soutient les droits palestiniens face à l’occupation et la colonisation israéliennes », a estimé Nabil Abou Roudeina, le porte-parole du président Mahmoud Abbas. « Cette position envoie un message de la communauté internationale à Israël que la colonisation est illégale et doit cesser totalement », a-t-il dit à l’AFP.

Les négociations de paix israélo-palestiniennes sont au point mort depuis septembre 2010. Les dirigeants palestiniens exigent pour les reprendre qu’Israël cesse la colonisation des territoires occupés depuis la guerre de juin 1967 et accepte les lignes d’avant 1967 comme base de discussions. Aux yeux de la communauté internationale, les colonies israéliennes sont illégales. Plus de 310.000 colons israéliens habitent en Cisjordanie et plus de 200.000 dans des quartiers de colonisation à Jérusalem-Est occupée et annexée depuis 1967.

22 mars 2012 : Le conseil des droits de l’homme décide de créer une mission chargée d’étudier les effets de la colonisation israélienne

Il proroge les mandats sur l’Iran et la République populaire démocratique de Corée et nomme un expert sur les droits de l’homme et l’environnement.

22 mars 2012 : Le Conseil des droits de l’homme a adopté onze résolutions, dont cinq portaient sur la situation des droits de l’homme en Palestine et dans les autres territoires arabes occupés. Il a également adopté des résolutions sur la République islamique d’Iran et la République populaire démocratique de Corée au titre des situations relatives aux droits de l’homme qui requièrent son attention. D’autres textes adoptés cet après-midi ont porté sur les droits de l’homme et l’environnement, sur la liberté de religion ou de conviction, sur l’obligation des États d’assurer l’enregistrement des naissances et sur la participation des personnes handicapées à la vie politique et publique. Dans le cadre du point relatif à la situation au Moyen-Orient, le Conseil a adopté cinq résolutions qui ont toutes dû être mises aux voix. Le Conseil décide notamment d’envoyer une mission internationale indépendante d’établissement des faits afin d’étudier les effets des colonies de peuplement israéliennes sur les droits civils, politiques, économiques, sociaux et culturels des Palestiniens dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est. Une résolution sur le Golan syrien occupé presse notamment Israël de cesser d’y construire des colonies. S’agissant de la suite donnée au rapport de la Mission d’établissement des faits de l’ONU sur le conflit de Gaza, le Conseil salue les efforts déployés par le Gouvernement suisse pour convoquer une conférence des Hautes Parties contractantes à la quatrième Convention de Genève relative à la protection des personnes civiles en temps de guerre, qui sera chargée d’examiner les mesures à prendre pour appliquer la Convention dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est. Le Conseil réaffirme, dans une autre résolution, le droit inaliénable, permanent et absolu du peuple palestinien à disposer de lui-même et, par un texte sur la situation des droits de l’homme dans le territoire palestinien occupé, exige qu’Israël mette un terme à toutes les pratiques et à tous les actes qui violent les droits de l’homme du peuple palestinien et cesse notamment de tuer ou de blesser des civils, de les arrêter et de les détenir arbitrairement ainsi que de détruire ou de confisquer leurs biens.

Adoption de résolutions

Novembre 2011 Les USA veulent un CNT en Algérie : La déclaration de la première responsable du Parti des travailleurs, Louisa Hanoune, à la clôture des travaux de la conférence internationale d’urgence relative à un « complot américain visant la création d’un conseil national de transition en cas de soulèvement populaire en Algérie », a jeté un pavé dans la mare et suscite des interrogations sur cette information jusqu’à présent non démentie par les responsables américains. A deux reprises (interventions médiatiques), la même responsable faisait état d’une rencontre entre Abdallah Djaballah, président du Front pour la justice et le développement (FJD), parti non encore agréé, et les ambassadeurs de France et des Etats-Unis d’Amérique en Algérie. Ces révélations viennent d’être soutenues par des déclarations de syndicalistes américains ayant pris part à la conférence internationale sur les ingérences et les guerres d’occupation, tenue à Alger. Selon les participants à la conférence, des personnalités algériennes ont été en effet contactées par les Américains en vue de diriger un « conseil national de transition ».

La délégation des syndicalistes des Etats-Unis qui a pris part à cette conférence n’a pas voulu donner plus de détails à la presse. Les syndicalistes américains se sont contentés de dire qu’un site appartenant à l’administration des Etats-Unis aurait publié des informations selon lesquelles les Etats-Unis s’apprêteraient à « mettre en place un conseil national de transition pour l’Algérie en cas de révolte populaire contre le gouvernement en place ».

Les participants à la rencontre ont assuré que leur opinion publique s’oppose totalement à ces « guerres menées par leur pays sous le drapeau de l’OTAN ». La secrétaire générale Louisa Hanoune préfère revenir en détail sur cette affaire lors d’une conférence de presse qu’elle a animé au siège du parti à Alger. Le leader du PT s’est distingué par ses appels réguliers à la vigilance, afin d’éviter de vivre le scénario des pays arabes, notamment la Libye, l’Egypte et la Tunisie, dont les populations ont été incitées à sortir dans la rue pour réclamer la chute du régime, au risque de leur vie et ouvrant les portes à l’ingérence de pays étrangers dans leurs affaires intérieures. Ce qui constitue, selon la SG du PT, « une nouvelle méthode d’occupation pour dilapider les richesses de ces pays ». L’Algérie a été la cible des Américains, a souligné Mme Hanoune à plusieurs reprises sans présenter les preuves de leur implication dans des appels à la révolte avec la coopération de personnalités locales sollicitées à intervenir. Il y a lieu de rappeler que des appels anonymes ont été lancés sur le réseau Facebook pour « une révolution du 17 septembre ».

Il avait été relayé notamment par le sulfureux Bernard-Henri Levy. L’appel anonyme à manifester a fait l’objet d’ailleurs d’un travail d’investigation de la part des services de sécurité afin de détecter les véritables auteurs ainsi que leurs motivations. Les RG (Renseignements généraux) ont ainsi discrètement interrogé certains animateurs de réseaux sociaux algériens pour recueillir des informations sur cette présumée manifestation. Aux termes de ses investigations, Dahou Ould Kablia, ministre de l’intérieur avait accusé des « parties étrangères » en relation avec « l’entité sioniste » (Israël) cherchant à fomenter des troubles dans le pays. Les autorités avaient salué la « sagesse et la sérénité du peuple qui n’a pas adhéré et n’est pas tombé dans le piège tendu ».

yogaesoteric
12 janvier 2018

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