Le danger de rendre 11 vaccinations obligatoires

Les français sont de plus en plus rétifs aux vaccins

La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a annoncé au mois de juillet qu’à partir du 1er janvier 2018 la France passera de 3 à 11 vaccins obligatoires pour les enfants. Plutôt que de suivre l’exemple des États-Unis et de son calendrier de vaccination en constante expansion, la ministre de la Santé aurait dû se tourner vers la Suède, l’Autriche ou la Suisse, des pays sans vaccination obligatoire.

 


Le gouvernement français a annoncé au début du mois de juillet qu’il pourrait rendre obligatoire 11 vaccins pour les enfants, en plus des trois déjà obligatoires (diphtérie, tétanos et poliomyélite). Après cela et ignorant les massives protestes organisés par le peuple contre cette décision, le gouvernants français ont suivi leurs plans diaboliques et ont passé la loi. Dans le cadre de la nouvelle juridiction, les parents seront forcés de respecter un calendrier de vaccination comprenant des vaccins contre la rougeole, l’hépatite B, la méningite C, la rubéole, les oreillons et la coqueluche.


Ce changement intervient après que le Conseil d’État français se soit prononcé en faveur des parents ayant fait le choix de ne pas vacciner leurs enfants, les trois vaccins obligatoires n’étant pas disponibles séparément, mais seulement en une seule prise, et combinés à des vaccins supplémentaires. L’ancienne ministre de la Santé s’est opposée à ce que ces trois vaccins soient disponibles individuellement.


Au lieu d’aller dans le sens du nombre croissant de parents qui cherchent des alternatives au calendrier de vaccination prescrit par l’État, le gouvernement français veut prendre une direction différente et a déjà augmenté le nombre total de vaccins obligatoires.


La ministre de la Santé prétendait également réexaminer la question en réaction à une épidémie de rubéole dans le nord-est de la France. Cependant, celle-ci ne mentionne pas que sur 61 cas enregistrés, 40% des enfants ont été vaccinés contre la maladie. D’autant plus que des épidémies se produisent également au sein de populations hautement vaccinées, que les individus complètement vaccinés peuvent contracter et propager des maladies et que l’immunité induite par le vaccin n’est pas permanente.


Le scepticisme français


À ce propos, la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, a déclaré au Parisien dans une interview : « Cela me trouble car ils ont sauvé des milliards de vies, mais on l’a oublié. On ne retient que des effets secondaires, dont beaucoup n’ont pas été prouvés. »


Beaucoup de Français sont, cependant, d’un avis différent. Dans la plus grande étude sur la confiance dans les vaccins à ce jour, la France a été, sur 66 pays étudiés, le pays le moins confiant dans la sécurité des vaccins, 41% des personnes étant en désaccord avec l’affirmation selon laquelle les vaccins sont sûrs. Le scepticisme ne se limite pas à la population générale ; pour un quart des généralistes français, le risque et l’efficacité des vaccins restent ambigus.


L’intérêt pour le contenu et la sécurité des vaccins n’est pas l’apanage des théoriciens du complot. En effet, l’Agence européenne des médicaments – une agence décentralisée de l’Union européenne, située à Londres, responsable de l’évaluation scientifique, de la supervision et de la surveillance de la sécurité des médicaments dans l’UE a établi dans un rapport qu’au moins 1 enfant sur 10 ayant utilisé Infanrix Hexa manifeste couramment une perte d’appétit, de l’agitation, de l’irritabilité et des pleurs anormaux. D’autres manifestations sont la fièvre supérieure à 38°C, un gonflement local à l’endroit d’injection (≤ 50 mm), enfin, de la fatigue et des rougeurs.


Un enfant sur 100 est face à une nervosité continue, de la diarrhée, des vomissements et des taux de fièvre supérieurs à 39°C. D’autres effets secondaires ont été observés, comme des infections des voies respiratoires, de la toux, un effondrement ou un état de choc, une enflure diffuse de l’endroit où a été injecté le vaccin. Ceci devient plus insidieux avec le vaccin MMR (rougeole – oreillons – rubéole), pour lequel le fabricant répertorie des effets secondaires affectant presque tous les systèmes, y compris lymphatique, respiratoire, sensoriel et nerveux. Cela n’est pas surprenant, compte tenu de la réticence de plus de la moitié des médecins français à expliquer l’utilité de l’aluminium neurotoxique, l’un des ingrédients des vaccins.


Aux États-Unis, les Centers for Disease Control (Centres pour le contrôle et la prévention des maladies) ont établi une longue liste de personnes qui ne devraient pas être vaccinées, y compris un avertissement curieux : « Toute personne ayant subi une réaction allergique à une dose antérieure de vaccin MMR ou MMRV doit ne pas recevoir une autre dose. »


Pas de responsabilité, pas d’incitatif


Le vaccin MMR est produit par Merck & Co., Inc, une entreprise hantée par des scandales. En 2002, la société pharmaceutique a engendré un chiffre d’affaires de 14 milliards de dollars qu’elle n’a pas collecté, ce qui a amené sa cote boursière à s’effondrer. Encore plus alarmantes sont les accusations de deux anciens scientifiques de Merck.


Dans le cas d’United States et al c. Merck & Co Inc, les lanceurs d’alerte affirment que la société a systématiquement falsifié les tests d’efficacité du vaccin. Reuters a indiqué en juin 2015 que, dans une réponse aux questions des avocats sur l’efficacité du vaccin, Merck a été constamment évasif en copiant-collant des réponses, en disant qu’ils ne peuvent pas faire un nouvel essai clinique pour déterminer l’efficacité actuelle et ne fournissant que des données d’il y a 50 ans.


En France, les réparations pour dommages causés par des vaccins non-obligatoires doivent être remboursées par la société qui les a produits, mais l’État est responsable des conséquences résultant de vaccins obligatoires. Plus précisément, l’Office national pour l’indemnisation des accidents médicaux prend en charge les dommages et intérêts. En bref : rendre les 11 vaccins obligatoires exempte l’industrie pharmaceutique de toute responsabilité.


C’est déjà le cas aux États-Unis, sur la base d’une décision de la Cour suprême de 2010. Par conséquent, le programme national d’indemnisation des blessures causées par les vaccins a dû verser des dommages-intérêts dépassant la somme astronomique de 2 milliards de dollars dans les dix dernières années seulement.


Sur un marché libre, les entreprises sont tenues responsables de leurs actions, par la loi ou par les consommateurs qui font différents choix sur le marché. Les vaccins obligatoires excluent ces deux mécanismes de contrôle en rendant obligatoire la consommation, puis en supprimant toute responsabilité des producteurs.


Une obligation est contraire à la liberté


Plus important encore, les vaccins obligatoires sont fondamentalement en contradiction avec la notion de propriété de son propre corps. En effet, l’objet des revendications d’une grande partie de la population prônant davantage de liberté, à savoir le respect de l’idée de mon corps, mon choix, semble manifestement contraire à l’injection obligatoire d’une substance dans l’organisme d’enfants, à laquelle les parents pourraient raisonnablement s’opposer.


Les individus se prononçant en faveur de la liberté individuelle devraient faire preuve de davantage de scepticisme à l’égard des décisions du gouvernement et du danger inhérent qui apparaît quand des grandes entreprises exercent une pression sur le pouvoir politique.


Certes, l’argument concernant les risques et l’efficacité, est une chose. Mais, au regard des décisions désastreuses prises par les États, lors d’actions précédentes, au nom de la santé publique, les défenseurs de la liberté devraient se méfier des obligations comme celle-ci. Dès lors qu’il est question de compromis, pourquoi ne pas aussi échanger la vie privée par la sécurité ou la liberté d’expression pour un discours plus courtois ?

Qu’est-ce que risque légalement un parent qui ne fait pas ces vaccins obligatoires à son/ses enfants ?


Jusqu’à six mois de prison et 3.750 euros d’amende, selon le code de la santé publique. Une sanction qui n’est aujourd’hui pas appliquée. La ministre de la Santé Agnès Buzyn avait déclaré sur RTL en juillet: « L’objectif n’est pas d’avoir des amendes mais de faire de la pédagogie ». La ministre a cependant mentionné la possibilité d’une clause d’exemption pour les parents qui le demandent. Mais, sans parler des sanctions légales, il demeure que les vaccins obligatoires doivent avoir été faits pour l’inscription en crèche ou à l’école élémentaire, « sauf contre-indication médicale ».

yogaesoteric

17 septembre 2017

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