Les réseaux pédocriminels n’existent pas – Round 31 – Réseau Barker (5)

Lisez la quatrième partie de cet article 



L’ONU, instrument de lobbying international

Pour se racheter, la dark mother leur a demandé de rejoindre un think-tank qui travaillait pour l’ONU. « On m’a dit que beaucoup des élites des Nations Unies sont des cannibales pratiquants qui gardent des esclaves – cela correspondait bien aux deux sœurs », écrit Barker. « Ce think-tank était un groupe d’intellectuels qui font des plans pour la prise de pouvoir mondiale par l’ONU. Ils faisaient aussi des plans pour créer une nouvelle civilisation pour la race humaine une fois cette prise de pouvoir effective ».

Barker explique que tous les gens de l’ONU et des think tank autour ne sont pas des pédophiles, cannibales et lucifériens, mais selon lui, tous sont des tarés. « Si vous ne me croyez pas, lisez l’Agenda 21 de l’ONU. Si l’Agenda 21 fonctionne, cela prendrait tout le pouvoir des gouvernements nationaux et locaux afin que les ploutocrates qui tiennent l’ONU aient le contrôle total des ressources partout dans le monde », précise Barker.

Ce texte est effectivement incroyable : il vise à organiser toute la société, à la contrôler et à tout planifier, y compris sur le plan démocratique, et cela au nom du développement durable. Ne lisez pas à ce sujet les articles des médias commerciaux : ils ont juste retapé les communiqués de presse et sont loin de la réalité de ces textes. Mais, laissons poursuivre Barker : « Toute la nourriture, toute l’eau, les animaux et les humains seront contrôlés par les élites globalistes. Tout le monde sera contraint de vivre dans des zones de peuplement. Tout le monde sera tracé et contrôlé », des réserves en fait.

Le pire, c’est que c’est écrit noir sur blanc dans les textes officiels, mais nos élites font comme si cela n’y était pas, et comme si l’Agenda 21 était formidable pour l’humanité.

On comprend mieux comment des horreurs pareilles sortent en permanence des cranes d’œuf de l’ONU, quand on sait qui sont ces gens et ce qu’ils défendent. L’objectif est de mettre tout ce machin en place d’ici à 2050. Donc demain. « La plupart des gens ne comprennent pas que le bâtiment des Nations Unies en entier est un temple satanique », écrit Barker.

Il y a même, dans une petite pièce, appelée la « meditation room », un autel satanique (mais on ne la vend pas comme cela sur le site de l’ONU, on dit qu’il s’agit d’une salle ouverte à toutes les religions). La peinture abstraite au fond montre une faucille, qui représenterait le sacrifice humain et la planète Saturne. 10 sièges qui représenteraient les 10 rois satanistes quand l’ONU aura pris le pouvoir font face à l’autel.

 

Sur le cannibalisme

Au sujet du cannibalisme, Barker explique ce que lui a raconté le Baron. Les satanistes cannibales des villes de la côte Est sont nombreux et bien organisés. Des entreprises cachées derrière des sociétés écrans vendraient de la viande humaine de qualité à des prix élevés, grâce au flot incessant de travailleurs clandestins et leurs enfants. Les otages sont ensuite gardés et engraissés dans des maisons secrètes, puis des ruches cannibales les choisissent sur photo et avec quelques infos en plus. Parfois, certains sont torturés pour que leur sang se remplisse d’adrénaline, ce qui est très recherché semble-t-il. Ce genre de pratique serait commune aussi bien aux chrétiens qu’aux juifs. La « viande humaine » serait ensuite préparée et conditionnée comme la viande animale. Bob, qui était en quelque sorte l’« éducateur » de Barker dans le satanisme, lui aurait encore précisé que des politiciens, aussi bien démocrates que républicains, mettaient de la viande humaine dans les plats servis à leurs diners de levées de fonds. Les lucifériens le savent, pas les autres. Bon appétit.

 

Barker explique que le Baron n’appréciait par la forme de cannibalisme pratiquée par les deux sœurs. Il préférait le « cannibalisme philosophique » pratiqué par les élites satanistes. Barker évoque aussi des films amateurs qu’il a vus, faits par des illuminatis de « haut rang » qui s’adonnaient au cannibalisme. La qualité des films était très bonne, selon Barker. Certains de ces films avait été tourné dans la villa d’un des membres du « Comité », c’est-à-dire le haut de la hiérarchie sataniste, un autre chez un très riche patron d’entreprise US. Les films étaient tournés dans les années 70 par Bob, qui avait été missionné pour filmer les pratiques sataniques à travers le monde.

Bien qu’habitué à filmer de la pédopornographie, il a été choqué par certains rituels de sacrifices et de cannibalisme. Il a fait des copies qu’il a montrées à des lucifériens qui ne pratiquaient pas cela et qui ont aussi été choqués, raconte Barker. L’un des films, en noir et blanc, montrait deux vieilles dames souriantes dans une grande et belle cuisine, en train d’égorger un bébé de quelques mois, de récupérer le sang et les organes tout en expliquant gentiment ce qu’elles faisaient, comme dans une émission culinaire classique. Puis elles recommencent avec une petite fille Noire. Elles gardent la nappe pleine de sang en souvenir, avant de passer à l’étape de la préparation. Enfin, le film montre le repas, avec tous les convives en tenues de soirée, se délectant des plats.

Deux des convives, un jeune couple, ont été installés dans l’axe de la caméra, en bout de table. L’homme demande pourquoi ils sont filmés, et on lui répond qu’il est son nouvel employé et ami, et qu’il voulait filmer cet événement spécial pour célébrer leur amitié. On leur explique qu’ils vont avoir un plat spécial, avec un porc spécial, très rare et délicieux. Au cours du repas, les invités plaisantent au sujet de la viande, sans que le couple n’y comprenne rien. On explique à Doug, qu’on comptait vraisemblablement le faire monter dans la hiérarchie de la boite, qu’il devait oublier la morale, considérer le public comme du bétail. « Je ne veux pas que tu sois un leader d’hommes », lui dit son hôte, « je veux que tu sois un gardien de bétail.Tu es un aristocrate maintenant, tu es un des nôtres.Tu dois penser différemment à leur sujet ».

Tout à la fin, on leur montre deux plats sous cloche. En enlevant la cloche, ce sont les têtes des deux bébés qu’ils voient. La femme tombe dans les pommes. Le gars demande si ce sont des têtes de poupées, tout le monde rit gaiement, puis il comprend ce qu’il vient de manger et s’évanouit à son tour. Puis ils se relèvent et rejoignent le délire…

En fait, selon Barker, les deux avaient déjà rejoint le satanisme, c’était seulement la première fois qu’ils mangeaient des êtres humains. Ce leader illuminati avait pour délire numéro 1, qu’il voyait comme l’acte démoniaque suprême, de faire manger par une mère son propre nouveau-né. Cette scène-là également a été filmée, dans la même pièce et avec le même angle que le film précédent, mais les convives semblaient « plus sombres » à Kerth. Le scénario a été le même, jusqu’au plat avec la tête de l’enfant qu’ils ont montré à la mère. Mais elle a été tuée ensuite.

 

Un troisième film décrit par Barker est simplement insoutenable. On résume : une femme attachée à une table est en même temps violée et mangée par des dingues procédant de manière chirurgicale. Parfois, ils brûlaient ses blessures pour éviter qu’elle ne meure trop vite, raconte Barker, qui décrit une scène d’un sadisme absolu qu’on aurait du mal à retranscrire ici. Ce film a été tourné par Bob, qui le lui a montré ainsi que quelques autres, en revenant de sa tournée européenne. Bob lui a expliqué que cette femme avait été retenue et torturée pendant des semaines avant cette mise à mort filmée. Selon Bob, ces films ne servaient pas qu’au sadisme sexuel, il s’agissait aussi d’un entraînement du chef illuminati sur ses employés, pour les désensibiliser. Il les forçait ainsi à être sans foi ni loi dans leur pratique professionnelle au quotidien, à traiter les gens comme des objets. Suite à cette tournée de films, Bob a été passablement écœuré et il a en partie voulu quitter ce système, raconte Barker.

Pendant une dizaine d’années, Bob a fait des copies de films qu’il devait tourner. Son but était de les montrer à des satanistes moins criminels pour les choquer et les retourner, afin de changer le système luciférien de l’intérieur. Finalement, son manège a été repéré et Bob a été liquidé par le réseau. Selon Barker, il est impossible de changer quoi que ce soit au système depuis l’intérieur, car le haut de la hiérarchie ne laissera jamais tomber ni son pouvoir, ni ses plans.


 



L’initiation

Quand le Baron voulait initier quelqu’un, il organisait une cérémonie, dans la nuit du 7 au 8 septembre. Il n’y a qu’une date par an, d’après Barker. La cérémonie consistait à des rituels de sacrifice et des orgies sexuelles, dont le clou du spectacle était la copulation d’une femme et d’un bouc auquel on avait mis une couronne et une cape. Apparemment, le bouc représente satan et est carrément vénéré pendant la cérémonie, avant d’être sacrifié et cuisiné. Après, ils boivent le sang et passent à l’orgie, et après l’orgie ils mangent la viande. Cette cérémonie était appelée « le mariage de la Bête ». Au cours de cette cérémonie, qui a lieu à 13 ans pour les garçons, leurs diverses personnalités sont réunies. Barker écrit qu’on lui a expliqué que cette idée de fractionner la personnalité des enfants était venue en Europe, quand pendant le Moyen-Age les satanistes ont dû dissimuler leurs croyances.

Les enfants étant trop jeunes pour la duplicité, on les traumatisait pour fractionner leur personnalité, avec un côté de bons chrétiens qui passait bien en société, et un côté sataniste, caché. Lors de la cérémonie des 13 ans, le garçon devait avoir sa première éjaculation et sacrifier un animal. A la fin, la personnalité chrétienne était tuée et le garçon savait qu’il était 100% sataniste.

 


Pédopornographie

D’après Barker, le Baron tirait pas mal d’argent de la vente de pédopornographie, dont la clientèle était constituée par ceux que Barker appelle les « aristocrates lucifériens ». Depuis ses 7 ou 8 ans, Kerth avait été forcé par le Baron de tourner dans de nombreux films pédopornos, souvent filmés par Bob, et qui étaient distribués partout dans le monde. Mais, certains des films dans lesquels il avait été obligé de « jouer » avaient un autre objectif : faire chanter des politiques, des patrons ou hauts cadres d’entreprise Cela était très utile au Baron pour ses divers business. Le type était invité à une soirée, il était saoul et défoncé, et on lui propose des prostituées, puis il se retrouve dans une chambre avec un ou une mineur(e). Un jour, le Baron a fait un film lors d’une pseudo cérémonie de mariage entre Kerth et un autre ado de 13 ans, Martin, organisée essentiellement pour l’aspect « piquant » du scénario. On a demandé aux gamins de se violer mutuellement et de tuer leur personnalité chrétienne.

On leur a aussi dit qu’une fois adultes ils seraient un couple, et qu’ils devraient promouvoir les droits des homosexuels, car il y avait trop d’enfants dans le monde, et que promouvoir l’homosexualité était un moyen de contrôler la croissance de la population. Barker explique que Martin était littéralement programmé par ses parents pour devenir gay, même s’il ne l’était pas à l’origine, et il pense que Martin était pris dans un projet expérimental de contrôle de la population. Ils se sont revus à 17 ans, et Martin s’est suicidé peu après.

Parmi les films que Bob lui a montrés, Barker cite celui dans lequel il a vu une fillette égorgée et saignée lors d’un rituel. Ensuite, tout le monde boit son sang en festoyant. Barker écrit que la petite fille était souriante au tout début, elle ne se doutait pas de ce qu’il allait se passer. Ces films auraient deux objectifs : le côté soi-disant « magick », comme l’écrivait Alistair Crowley, et la manipulation psychologique du groupe.

Les amateurs de sang

Ce qu’explique Barker à ce sujet peut paraître invraisemblable. Mais on a déjà entendu cela. On a pu parler avec un homme qui avait intégré plusieurs loges, liées au satanisme et ses dérivés, généralement intégrées à la franc-maçonnerie de plus ou moins près. A l’époque, on débarquait complètement en ce qui concerne ce type de croyances. Tout cela semblait un sombre délire et on n’avait pas le temps de s’en occuper. Mais il avait expliqué le fonctionnement de ces loges, leurs rites d’initiation, avec les sacrifices et cette manie de boire du sang. En le regardant, on se demandait s’il se fichait, sur le moment. Tout cela pour dire que ces pratiques sont connues, sauf par le grand public. Barker explique bien pourquoi le fait de boire du sang est si important pour tous ces dingues.

Il dit que c’est un phénomène lié à l’absence de pouvoir : « Les gens qu’on a amenés à se sentir impuissants dans leurs vies peuvent être attirés par le fait de boire du sang, comme une manière de retrouver un sentiment de pouvoir ». Il explique que ceux qui font cela ont été abusés depuis leur naissance. Ils recherchent donc de la force supplémentaire, d’où la recherche de sang « adrénalisé ». Il écrit que quand il était jeune, certains ont tenté de se rebeller de l’intérieur, effrayés par la vague de dépendance au sang bourré d’adrénaline dans le milieu illuminati. Selon lui, il s‘agit d’une dépendance similaire à celle liée aux drogues dures. Il en a eu en thérapie et il dit que « par exemple, il devient assez vite parfaitement clair pour vous que votre client vous regarde de la manière dont un loup regarderait un agneau qu’il voudrait tuer et manger ». Ambiance.

Il y en a qui boivent du sang parce que ça leur parait hipe, dans le vent, et cela reste occasionnel. Il y en a qui le font dans un cadre occulte, cette consommation peut rester modérée et, selon Barker, ils ne tuent pas pour obtenir ce sang, préférant utiliser leur ou du sang provenant de « diverses sources médicales ». Et de citer en exemple la nouvelle mode du prélèvement de sang dans le cordon ombilical des bébés. En buvant leur sang, en mangeant ceux qu’ils appellent le « bétail humain », ils se sentent supérieurs. Toutefois selon Barker, la plupart des aristocrates satanistes ne s’adonnent pas à ces pratiques, tout en tolérant que d’autres le fassent. Certains, en revanche, y vont franchement, au point de se faire des transfusions régulièrement, avec du sang de jeunes en bonne santé ayant un groupe sanguin compatible. Ceux qui pratiquent ces rituels de sacrifices d’enfants croient qu’ils absorbent ainsi la force vitale des enfants (et la sodomie est utilisée comme un canal, a-t-on dit) et gagnent en jeunesse.
 
 
Lisez la sixième partie de cet article

 
 

yogaesoteric

16 juillet 2018

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